Bruxelles, 01/10/2015 (Agence Europe) - Un État membre peut exiger de l'exploitant d'une maison de prostituées en vitrine qu'il communique dans une langue commune avec les prostituées qui y travaillent, a affirmé la Cour de justice de l'UE, dans un arrêt (aff. C-341/14) rendu jeudi 1er octobre.
Dans l'affaire au principal, un exploitant de maison de prostituées en vitrine à Amsterdam s'est vu refuser des nouvelles autorisations car il a loué des chambres pour des parties de la...