Lorsqu’il y a une raison de croire qu’une personne en quête de protection internationale est exposée aux risques de torture ou de traitements inhumains ou dégradants, un État membre de l’UE devrait lui accorder un visa humanitaire, peu importe s’il existe ou non des attaches entre cet État et cette personne ou si cette dernière cherche ainsi à introduire une demande d'asile.
C’est en répondant à une question au sujet d’une famille syrienne en quête d’asile en Belgique...