On aura tout vu: d'ici quelques semaines, le Conseil européen sera présidé par un chef d'État qui se déclare lui-même eurosceptique, voir même dissident anti-européen ! Que cela soit clair: Vaclav Klaus, président de la République tchèque, a évidemment le droit d'avoir ses opinions et de se battre pour elles. La question est de savoir si une personnalité qui s'oppose à un traité que son pays a négocié et approuvé, se félicite du fait qu'un autre État membre ne l'ait pas...