06/12/2005 (Agence Europe) - Dans une déclaration du 2 décembre, la Présidence britannique regrette au nom de l'UE de « se voir à nouveau dans l'obligation d'exprimer sa préoccupation concernant la situation en Biélorussie à la suite de la décision de l'Assemblée nationale de ce pays d'approuver en première lecture un projet de "loi antirévolutionnaire" modifiant le code pénal », une législation qui « apparaît clairement comme une tentative d'intimider les Biélorusses et...