12/02/2003 (Agence Europe) - « Même si l'UE a rompu ses relations économiques et commerciales avec la Birmanie et agit pour l'instauration des libertés civiles, politiques et syndicales, il n'en reste pas moins que, sur 322 multinationales, un certain nombre d'entreprises européennes continuent à investir, à livrer des équipements ou à effectuer des travaux, donc à bénéficier du travail forcé organisé par la dictature birmane ». C'est ce qu'affirme une lettre adressée...