La recherche, la création de la beauté, la lutte contre les maladies, l'éducation des nouvelles générations… ». Aux critiques, il répond: « Ceux qui, comme moi, osent s'attaquer à l'idéologie de la croissance sont qualifiés d'esprits chagrins, opposés au progrès. En réalité, nous voulons impulser une dynamique, une évolution qui tienne compte des capacités de la planète. Ce n'est pas de l'idéologie mais du réalisme ». Rien de vraiment nouveau dans ces thèses ? C'est...