Les institutions européennes ont été très claires, à propos des péripéties politico-juridiques actuelles en Turquie, pour affirmer la primauté de la politique, donc du parlement élu et du gouvernement légitime (voir cette rubrique d'hier). De son côté, le Premier ministre M. Erdogan s'est engagé à respecter la laïcité de l'Etat, le pluralisme des partis, la liberté d'expression et les autres conditions nécessaires au fonctionnement d'un régime démocratique. Si ces...