Une situation intenable. L'état du dossier Turquie soulève de nombreuses perplexités. La Commission européenne avait à peine annoncé son attitude (voir notre bulletin n. 8980) que les réactions fusaient, souvent dans un sens négatif. La Commission n'est pas responsable de cette situation, car quoi qu'elle fasse elle sera sous le feu des critiques. Si elle avait demandé une pause de réflexion au lieu de l'ouverture des négociations à la date prévue, on lui aurait reproché...