À regret, il nous faut nous saisir à notre tour de la saga née de la nomination de Martin Selmayr comme secrétaire général de la Commission européenne (EUROPE 11991). S’y refuser était tentant, mais aurait certainement été considéré par les Savonarole et autres Fouquier-Tinville, qui pour l’instant battent la mesure médiatique européenne, comme un aveu de faiblesse ou de complaisance intéressée de l’Agence Europe. Il n’en est rien. Pour autant, il ne s’agira pas,...