Bruxelles, 03/07/2007 (Agence Europe) - Plaidant tout à la fois pour plus de marge de manoeuvre en matière budgétaire et une coordination économique accrue en matière monétaire et de taux de change, la France assume cette contradiction apparente. « Vous avez dans le Pacte de stabilité réformé une marge de manœuvre qui peut offrir plus de flexibilité quand vous réalisez un programme de réforme qui vise à accroître le taux de croissance potentiel », explique Jean-Pierre Jouyet...