Une poignée d’eurodéputés a condamné, mardi 27 février dans la soirée à Strasbourg, les nouvelles révélations de mise sur écoute de membres du Parlement européen dans un débat bref auquel n’assistaient ni la Présidence belge du Conseil de l’UE ni les commissaires compétents sur les affaires d’espionnage et de protection des données personnelles.
Le 22 février, Politico a rapporté que les téléphones de deux eurodéputés supplémentaires avaient été espionnés au...