À l’annonce du décès de Jacques Delors, communiqué le 27 décembre à l’AFP par sa fille, Martine Aubry, d’innombrables paroles d’hommage furent prononcées et de multiples articles publiés dans toute l’Europe ; le quotidien Le Mondey consacra sa « une », son éditorial et surtout un dossier de six pages de grande qualité. Tout ceci était parfaitement mérité, au vu du bilan du président de la Commission européenne qu’il fut durant dix ans (1985-1995) :...