Il aura suffi de deux jours. Vendredi 1er décembre, le président brésilien, Luiz Inacio Lula da Silva, affirmait, via ses réseaux sociaux, que le Mercosur et l'Union européenne étaient «proches de conclure » leur accord commercial. C'était sans compter sur l'Argentine qui, dès le lendemain, a douché les espoirs communs, déclarant que «les conditions n'[étaient] pas réunies » pour voir aboutir la ratification. Et de remettre à un futur incertain l'avenir de l'accord de...