Le droit de l'Union européenne ne s'oppose pas, en principe, à une législation nationale qui autorise le filtrage des investissements directs en provenance de pays tiers, même si ces investissements sont réalisés par une société établie dans l'UE, a estimé l'avocate générale de la Cour de justice de l'UE, Tamara Ćapeta, dans des conclusions rendues jeudi 30 mars (affaire C-106/22).
Une société hongroise détenue par des capitaux situés aux Bermudes conteste la décision des...