Un État membre peut autoriser, dans le cadre de sa politique de neutralité, le port de signes religieux de petite taille, ceux-ci n'incluant pas le foulard islamique, a déclaré l'avocat général de la Cour de justice de l'Union européenne, Athanasios Rantos, dans des conclusions rendues jeudi 25 février (affaire C-804/18).
La Cour est invitée à analyser la conformité des règlements de deux entreprises interdisant à leurs employés le port de signes visibles de convictions...