L’audition, mardi 1er décembre, du directeur exécutif de l’agence Frontex, Fabrice Leggeri, sur les accusations de refoulements de migrants dont elle fait l’objet, n’a pas permis de lever les doutes et les inquiétudes de la commission des libertés civiles (LIBE) du Parlement européen.
Les eurodéputés ont, en effet, entendu M. Leggeri sur différentes affaires de suspicion de refoulements de migrants en Mer Égée révélées par la presse. Mais ils ont dû se contenter de...