Bien que la loi belge prolongeant de dix ans les activités des centrales nucléaires de Doel 1 et Doel 2 ait été adoptée sans évaluation préalable des incidences sur l’environnement – évaluation pourtant exigée par la législation de l’UE -, il n’est pas exclu que ses effets puissent être maintenus provisoirement et à titre exceptionnel, si le maintien est justifié par la nécessité impérieuse d’écarter une menace réelle et grave de rupture de l’approvisionnement...