Trois jours avant les élections législatives italiennes du 4 mars 2018, l’actuel président du Parlement européen, Antonio Tajani, avait confirmé, via les réseaux sociaux, sa disponibilité à servir l’Italie en cas de victoire du parti Forza Italia.
Il répondait à l’appel de son mentor en politique, Silvio Berlusconi, qui l’avait propulsé au poste de commissaire européen et sans lequel sa carrière politique n’aurait sans doute pas pris une telle envergure.
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