Bruxelles, 05/02/2015 (Agence Europe) - La volonté du gouvernement grec de ne plus traiter avec la 'troïka' (Commission européenne, BCE, FMI), qui représente à Athènes les créanciers institutionnels de la Grèce, se heurte à une forte résistance.
La présence des trois institutions financières pour suivre l'état d'avancement des réformes préconisées dans le cadre du plan de sauvetage grec est « indispensable », a déclaré le commissaire aux Affaires économiques et...