Bruxelles, 04/09/2014 (Agence Europe) - En matière économique, la voix des eurodéputés appartenant à des mouvements hostiles à la pensée dominante - qu'ils soient antilibéraux, souverainistes ou europhobes - se fait davantage entendre que lors de la précédente législature du Parlement européen.
Avec quelques nuances, les groupes politiques traditionnellement pro-européens (PPE, S&D, ADLE, Verts/ALE) et capables de former une majorité stable sur les principaux dossiers...