Bruxelles/Paris, 01/07/2008 (Agence Europe) - Si le « non » irlandais constitue sans aucun doute le principal obstacle à une future entrée en vigueur du Traité de Lisbonne, il n'est pas le seul. Au moment où la nouvelle présidence française de l'UE s'est fixé comme « première priorité » de circonscrire le problème du traité à la seule Irlande et d'assurer la poursuite des autres ratifications, de nouvelles difficultés sont apparues dans plusieurs États membres,...