Bruxelles, 13/03/2008 (Agence Europe) - La Commission européenne, qui ne s'est pas opposée au projet français devenu, sous la pression de la Chancelière allemande, une « Union pour la Méditerranée », marque sa perplexité. Elle a lancé, en interne, une étude sur le contenu réel du projet, à laquelle ont contribué ses services de divers secteurs. Une des premières observations est la multiplicité des chevauchements entre le projet désormais franco-allemand et ce qui existe...