Bruxelles, 13/03/2008 (Agence Europe) - La Commission européenne a clôturé, mercredi 12 mars, son enquête approfondie concernant la disposition de la loi de finance italienne 2004 qui permettait à d'anciennes banques publiques de libérer les plus-values latentes générées au cours de leur privatisation en versant un impôt nominal de 9 % au lieu de l'impôt ordinaire sur les sociétés de 37,25 %. L'enquête, ouverte en mai 2007, a révélé que ce régime fiscal favorisait un groupe...