Bruxelles, 22/03/2005 (Agence Europe) - Dans le Financial Times de lundi, l'ancien Commissaire européen à la concurrence, Mario Monti, président de l'Université Bocconi à Milan, estime qu'il est « dommage » qu'on ait renoncé, dans le contexte de la relance de la stratégie de Lisbonne, au « naming and shaming » des pays qui traînent dans la mise en œuvre des réformes. La publication de tableaux de bord a été très utile pour faire avancer le marché intérieur, remarque-t-il,...