Les critiques ne tiennent pas compte des réalités. Je considère comme largement positive la conclusion des négociations entre l'UE et la Suisse sur la fiscalité de l'épargne (voir notamment notre bulletin du 20 mai, page 9). Les réticents font valoir essentiellement trois critiques: a) la Suisse peut garder, et elle gardera, la pratique du "secret bancaire"; b) les banques suisses pourraient aisément ne pas appliquer la retenue à la source sur les intérêts des dépôts de citoyens...