06/11/2003 (Agence Europe) - Avant d'arriver au Conseil JAI, le ministre italien de la Justice et président du Conseil, Roberto Castelli, a rejeté de manière très virulente le mandat d'arrêt européen. Interrogé à ce sujet, son collègue de l'Intérieur, Giuseppe Pisanu, a refusé de commenter (EUROPE d'hier p.12).