Les commissions parlementaires des libertés civiles (LIBE) et des droits des femmes (FEMM) du Parlement européen ont adopté, jeudi 5 octobre, leur position sur la nouvelle directive relative à la traite des êtres humains, qui touche au moins 7 000 personnes par an dans l’UE, selon un communiqué du PE.
Les nouvelles propositions donneraient aux services répressifs de l'UE de nouveaux outils pour démanteler les organisations criminelles en ajoutant de nouvelles catégories de crimes,...