La commission du droit des femmes (FEMM) a abordé, jeudi 13 octobre, la question des violences sexuelles comme armes de guerre, y compris en Ukraine.
Les députés étaient en présence de Katarzyna Kozlowska, fondatrice de Say Stop en Pologne, de Branka Antic-Stauber, collaboratrice avec des associations de soutien aux victimes en Bosnie, et de Willy Fautré, directeur de Droits humains sans frontières. Tous ont dénoncé le phénomène d’impunité, exacerbé en temps de conflit.