L’envoyé spécial des Nations Unies pour la Syrie, Staffan de Mistura, a estimé, mardi 24 avril, qu’il ne fallait pas demander de miracles à l’UE et l'ONU pour relancer le processus politique, si les trois garants d’Astana – Russie, Iran et Turquie – ne remplissaient pas leur rôle.
« Genève devrait être l’endroit où tout est utilisé pour relancer le processus politique. Chacun doit faire son travail. Demander à l’ONU ou l’UE de faire des miracles quand les...