En réponse à la requête de la chancelière allemande, Angela Merkel, d'autoriser la construction du gazoduc russe Nord Stream 2, le gazier russe Gazprom s'est dit prêt, mardi 10 avril, à maintenir le transit de gaz russe vers l'UE à travers l'Ukraine, mais sous conditions de volumes réduits et d'un contrat rentable.
« Le transit (par l'Ukraine) peut être conservé, à un volume de 10-15 milliards de mètres cubes par an, mais la partie ukrainienne doit justifier...