Les pays de l’Est de l’UE, réunis notamment dans le groupe dit de Visegrad, ont à nouveau exprimé, jeudi 13 octobre, leur refus de voir s’imposer des quotas obligatoires d’accueil des demandeurs d’asile et de réfugiés et ont obtenu un certain soutien de la Commission européenne qui s’est dite ouverte à discuter des nouvelles propositions sur l’asile.
À l’occasion d’un débat public sur la réforme du système d’asile et sur les nouvelles propositions de la...