L'épisode de rentrée du Quart d'Europe se concentre sur le processus de renouvellement des institutions européennes, notamment la réélection d'Ursula von der Leyen à la présidence de la Commission et les défis pour garantir la parité hommes-femmes dans la composition du nouveau collège des commissaires. Malgré la demande de von der Leyen, peu d'États membres ont proposé des candidats respectant cette parité, ce qui pourrait engendrer des tensions et influencer les auditions des candidats commissaires à venir. Il s’agit de détailler les échéances de l'automne jusqu’à l'entrée en fonction prévue du nouveau collège en décembre prochain.
L'épisode de rentrée du podcast de l'Agence Europe se concentre sur le processus de renouvellement des institutions européennes, alors que le délai pour soumettre des candidatures au nouveau collège des commissaires européens touche à sa fin. Alors que l'enregistrement a lieu, la Belgique, la Bulgarie et l'Italie n'ont pas encore proposé de candidats, ce qui crée une incertitude quant à la composition finale du collège.
Il s’agit de revenir également sur la session plénière du Parlement européen de juillet, où Ursula von der Leyen a été réélue présidente de la Commission européenne (EUROPE 13456/1) avec 401 voix, ainsi que sur la reconduction de Roberta Metsola à la tête du PE (EUROPE 13454/1).
La question de la parité hommes-femmes au sein de la Commission, souhaitée par Mme von der Leyen, reste un enjeu central. En effet, malgré sa demande aux États membres de proposer un homme et une femme pour chaque poste de commissaire, peu ont répondu favorablement, soulevant des tensions entre les priorités nationales et les aspirations de la Commission européenne.
Dans cet épisode, le rédacteur en chef de l'Agence Europe, Mathieu Bion, revient sur les problématiques auxquelles Ursula von der Leyen est confrontée pour garantir un équilibre entre la parité et les considérations géopolitiques dans la répartition des portefeuilles. Les
Les échéances de cet automne avant l'entrée en fonction prévue du nouveau collège des commissaires en décembre 2024, constitue un processus au cours duquel les candidats seront évalués non seulement sur leurs qualifications, mais aussi sur leur vision et engagement européens. Le Parlement européen, qui détient un pouvoir significatif dans ce processus, pourrait rejeter des candidats si les critères de parité ne sont pas respectés.