Bruxelles, 23/09/2009 (Agence Europe)- Pour de nombreux observateurs, le sommet climatique mondial qui, à l'invitation de Ban Ki-moon, a réuni une centaine de chefs d'État et de gouvernement à New York le 22 septembre, a accouché d'une souris. Les États-Unis et la Chine - les deux plus gros émetteurs de CO2 au monde (ils totalisent 40% des émissions mondiales), donc deux acteurs clés des négociations internationales, n'ont en effet fait aucun mouvement significatif qui puisse...