Les bonnes réponses. Ni les cris d'indignation ni l'abandon de la salle ne représentaient, à mon avis, la réaction la plus appropriée au discours eurosceptique prononcé la semaine dernière à Bruxelles par le président tchèque Vaclav Klaus (voir notre bulletin N° 9844). Pour trois raisons: il a, comme tous les citoyens de l'UE, le droit d'exposer ses idées en toute liberté ; il a eu le courage politique de les présenter au Parlement européen, tout en étant conscient que...