Bruxelles, 12/09/2007 (Agence Europe) - L'Union européenne aurait tort de penser qu'une éventuelle accélération du processus d'intégration européenne de la Serbie, comme l'a récemment suggérée le Premier ministre italien Romano Prodi, pourrait inciter Belgrade à changer son opposition à l'indépendance du Kosovo, car les deux questions « ne sont pas liées » et ne peuvent donc pas faire l'objet d'un « marchandage », a déclaré mercredi le Premier ministre serbe Vojislav...