Ce n'est pas l'exposé de Jeremy Rifkin comparant le « rêve européen » au « rêve américain» qui m'a impressionné dans la conférence organisée mardi soir par le groupe des Verts/ALE du Parlement européen, ni le débat qui décollait difficilement à cause de la banalité et de la longueur excessive du discours introductif. Certes, la fougue dont M. Rifkin a fait preuve pour démontrer la supériorité du modèle européen était flatteuse pour notre vieille Europe. Mais ce qui m'a...