Strasbourg, 07/09/2000 (Agence Europe) - La création apparemment anodine d'un "Observatoire des mutations industrielles" a divisé le Parlement en deux parties: une droite hostile à toute nouvelle bureaucratie et une gauche convaincue qu'il s'agirait d'un instrument utile pour prévenir les conflits sociaux. Au nom du Conseil, Nicole Péry (ancienne vice-présidente du Parlement, qui remplaçait Martine Aubry) a estimé que cet observatoire devrait être un "outil" et non pas un lieu de...