Évoquant des «preuves de plus en plus nombreuses » selon lesquelles le logiciel espion Pegasus a été utilisé à des fins illégitimes par plusieurs États membres du Conseil de l’Europe, l’assemblée parlementaire a adopté, mercredi 11 octobre, une résolution exhortant la Pologne, la Hongrie, la Grèce, l’Espagne et l’Azerbaïdjan à enquêter sur les abus potentiels, à dédommager les victimes et à informer la Commission de Venise dans un délai de trois mois sur...