Un État membre peut, dans le cadre de l’équivalence des formations des personnes chargées d’évaluer la sécurité des produits cosmétiques, définir quelles disciplines peuvent être regardées comme « analogues » à la médecine, à la pharmacie ou à la toxicologie, à condition que ces personnes disposent d’une qualification dont le socle d’enseignement est similaire à celui enseigné pour une de ces trois disciplines. Telle est la substance des conclusions rendues par...