« Les mots et les symboles sont puissants ; ils ont la puissance de nuire ». Ce propos de Matti Maasikas, le vice-ministre estonien chargé des Affaires européennes, résume bien l’enjeu du débat d’actualité qui s’est tenu au Parlement européen, mercredi 13 décembre, sur l’interdiction, à l’échelle de l'UE, des symboles et slogans nazis et fascistes.
Face à une Commission et un Conseil unis, plaidant pour une véritable réponse européenne à l’aggravation de la...