Le premier vice-président de la Commission, Frans Timmermans, a conseillé aux députés européens, mardi 14 novembre, lors d’un débat sur l’État de droit à Malte, de ne pas poser des conclusions hâtives.
« Ce qui ne va pas, c’est de commencer par une conclusion et puis chercher des faits pour l’étayer », a-t-il dit, avant de leur demander de ne pas transformer le meurtre de la journaliste maltaise Daphné Caruana Galizia en une« bataille de partis politiques ».