L’inexistence de soins psychologiques adaptés pour le traitement du stress post-traumatique dans le pays tiers d’origine d’une personne qui y a été torturée n’est pas un motif suffisant pour que l’intéressé puisse prétendre à la protection subsidiaire dans un État membre de l’UE.
Toutefois, l’État membre en question maintient le pouvoir discrétionnaire d’autoriser le séjour de la personne en question sur son territoire pour des raisons humanitaires.
Telles sont...