Le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, et son premier vice-président, Frans Timmermans, se sont inquiétés, mercredi 1er février, de la situation en Roumanie après l’adoption par le gouvernement de Sorin Grindeanu, par décret d’urgence, d’une dépénalisation de faits de corruption.
Alors que la Commission avait présenté, mercredi 25 janvier, un rapport plutôt optimiste sur les progrès de la Roumanie dans le cadre du mécanisme de coopération et...