Les ministres des Affaires étrangères ont estimé, lundi 17 octobre, que les bombardements à Alep pouvaient constituer des crimes de guerre, appelant le régime syrien et « ses alliés » à cesser les frappes aveugles.
« Depuis le début de l'offensive par le régime et ses alliés, notamment la Russie, l'intensité et l'ampleur du bombardement aérien de l'est d'Alep sont clairement disproportionnées et le ciblage délibéré des hôpitaux, du personnel médical, des écoles et des...