Bruxelles, 18/07/2014 (Agence Europe) - Lorsqu'un demandeur d'asile met en avant son orientation sexuelle pour justifier sa demande, la crédibilité de son affirmation peut être évaluée par les autorités de l'État membre. Ces dernières ne peuvent cependant pas procéder à des examens médicaux ou pseudo-médicaux, à des interrogatoires inquisiteurs ni exiger des preuves des activités sexuelles, a conclu l'avocat général Eleanor Sharpston devant la Cour de justice de l'UE dans...