Une évidence qu'on oublie. Les critiques, même sévères, sont toujours utiles. Les commentateurs qui estiment impossible le redressement budgétaire rapide de la Grèce et ne croient pas à sa permanence dans la zone euro, ou qui sont sceptiques à l'égard de l'existence même de la monnaie commune (voir cette rubrique d'hier), ont raison d'exprimer leurs critiques et leurs doutes. Mais ils se libèrent trop facilement de l'euro et de ce qu'il apporte à la construction européenne et à...