Strasbourg, 12/04/2005 (Agence Europe) - Déjà utilisé par le Conseil lors du dernier élargissement, le scénario est désormais bien rodé. Il consiste à se servir du traité d'adhésion pour fixer l'enveloppe financière des premières années sans concertation avec le Parlement européen qui voit ainsi ses droits budgétaires bafoués. La méthode est redoutable puisque le Parlement ne dispose dès lors plus que d'une "arme nucléaire" pour faire valoir ses droits: le refus de l'avis...