Des résultats à étendre. Michel Rocard se considère tout autant attaché que n'importe qui à une Europe vraiment intégrée et même fédérale, mais il estime qu'elle n'est pas en vue et que, par conséquent, l'attachement à ce type d'Europe n'est pas un argument valable pour s'opposer à l'adhésion de la Turquie. Au colloque organisé par le IERI (voir cette rubrique d'hier), il l'a dit avec une chaleur non dénuée par moment d'ironie. "L'Europe fédérale était un rêve, et elle...