Bruxelles, 17/02/2004 (Agence Europe) - Alors que la préférence pour l'anglais dans les institutions européennes va s'aggraver avec l'élargissement (69% des candidats des nouveaux Etats membres aux concours ont en effet choisi l'anglais, 18% l'allemand et 13% le français), la Commission européenne a tenté, mardi, de justifier sa politique en matière de traduction et d'interprétation des langues, tout en défendant le « droit démocratique » de la diversité linguistique. Selon la...