Dans le sillage du mouvement MeToo, en 2017, des mesures ont été prises en interne, au Parlement européen, pour lutter contre le harcèlement et les agressions sexuelles. Mais ces mesures «ne sont pas assez fortes », « il y a encore des cas de harcèlement sexuel au Parlement et les victimes n'osent pas utiliser les canaux existants » pour s’en protéger, alertent les eurodéputés dans un projet de résolution qui sera étudié en commission des droits des femmes (FEMM) du...